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Les Derniers Jedi / réalisé par Rian Johnson
Vidéo
Edité par Disney Pixar (Buena Vista) - 2018
Les héros du Réveil de la force rejoignent les figures légendaires de la galaxie dans une aventure épique qui révèle des secrets ancestraux sur la Force et entraîne de surprenantes révélations sur le passé...
Avis des bibliothécaires :
La nouvelle trilogie : Le ratage contre-attaque
L’épisode 7 de J.J. Abrams était raté mais avait du potentiel, dans son intrigue et ses personnages. Heureusement, le nouveau réalisateur Rian Johnson a corrigé cela... en détruisant consciencieusement ces possibilités !
Car oui, l’épisode 8 est raté, et ce dès son titre français (« The last Jedi » est au SINGULIER, bon sang !). On passe 2h30 à voir l'histoire faire du sur-place et éliminer toutes les intrigues ouvertes dans le précédent film. Les « héros » (sic) sont sans intérêt, échouent en tout, et même le méchant est abattu de façon pathétique, sans rien dévoiler de son mystère. A se demander ce que J.J. Abrams va bien pouvoir raconter dans l'épisode 9.
Votre serviteur a personnellement vu chaque film de la saga au moins 10 fois (voire 20). Il n'a pas réussi à revoir celui-ci une deuxième fois en entier.
Bref, revoyez la trilogie originale et la prélogie, et oubliez la nouvelle trilogie, elle n’en vaut pas la peine.
Par Claude
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- 2017
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Livre - 2017 - J'apprends la gym / texte d'Emmanuelle Ousset
Disponible à Bibliothèque Louis Aragon
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Biographie

Eddie James House, Jr. (né le 21 mars 1902 à Riverton, Mississippi et mort le 19 octobre 1988 à Detroit, Michigan), plus connu sous le nom de Son House était un chanteur et guitariste de blues. Il est l'un des pionniers du blues du Delta du Mississippi. Sa date de naissance est incertaine. Bien que tous les documents légaux indiquent une naissance le 21 mars 1902, Son House lui même donna des informations contradictoires et déclara être né en 1886. Adolescent, il commence une formation pour devenir prêcheur baptiste. Bien que cette Eglise s’oppose fermement au blues qui évoque le monde du péché, Son House est malgré tout attiré par cette musique et apprend la guitare en autodidacte dans les années 20. Après le meurtre d'un homme, prétendument en situation de légitime défense, il purgea sa peine à la prison de Parchman Farm (Mississippi State Penitentiary) en 1928 – 1929. Il joua au coté de Charley Patton, Willie Brown, Robert Johnson, "Fiddlin'" Joe Martin, et Leroy Williams, vers Robinsonville (Mississippi) puis à Memphis (Tennessee) jusqu’en 1942. Son House a enregistré pour Paramount Records en 1930 et pour Alan Lomax, de la Bibliothèque du Congrès, au début des années 1940. Il a ensuite été oublié, jusqu'au « country blues revival » des années 1960 lors duquel il a été redécouvert. Il s'est ensuite beaucoup produit aux États-Unis et en Europe et a enregistré pour CBS. Comme Mississippi John Hurt, il a été bien accueilli par la scène musicale des années 1960 et a joué au Newport Folk Festival de 1964, puis à d'autres concerts en publics en 1965 et en Europe en 1967. En été 1970, il participe de nouveau à une tournée en Europe, se produisant notamment au Festival de Jazz de Montreux. Sa santé s'étant détériorée, il se retire à nouveau en 1974. Il finit ses jours à Detroit, et décède en 1988 d’un cancer du larynx. Les membres de la « Delta Blues Society » organisent un concert dont les bénéfices servent à ériger un monument sur sa tombe. À la différence de certains guitaristes de blues des années 1920 et 1930, Son House n'était pas un virtuose, et sa technique n'est pas particulièrement impressionnante. Son manque de technicité est toutefois compensé par un style puissant et novateur, très rythmé, répétitif, souvent joué au bottleneck, accompagnant un chant qui doit beaucoup à celui des forçats des "chain gangs". La musique de Son House, à l'opposé de celle, par exemple, d'un Blind Lemon Jefferson, était une musique de danse, faite pour être entendue dans l'atmosphère bruyante des "barrelhouse" et autres salles de danse. Son House a eu une grande influence non seulement sur Muddy Waters mais aussi sur Robert Johnson, qui a repris certains de ses morceaux. C'est Son House qui, par ses récits à de jeunes fans de blues ébahis des années 1960, répendit la légende selon laquelle Robert Johnson aurait vendu son âme au diable en échange de sa virtuosité musicale. Plus récemment, la musique de Son House a influencé des groupes de rock comme les White Stripes, qui ont repris son morceau Death Letter dans leur album De Stijl, et l'ont joué plus tard aux Grammy Awards de 2004. La maladie a gaché ses dernières années et il a cessé de se produire sur scéne au début des années 1970. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
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La nouvelle trilogie : Le ratage contre-attaque
L’épisode 7 de J.J. Abrams était raté mais avait du potentiel, dans son intrigue et ses personnages. Heureusement, le nouveau réalisateur Rian Johnson a corrigé cela... en détruisant consciencieusement ces possibilités ! Car oui, l’épisode 8 est raté, et ce dès son titre français (« The last Jedi » est au SINGULIER, bon sang !). On passe 2h30 à voir l'histoire faire du sur-place et éliminer toutes les intrigues ouvertes dans le précédent film. Les « héros » (sic) sont sans intérêt, échouent en tout, et même le méchant est abattu de façon pathétique, sans rien dévoiler de son mystère. A se demander ce que J.J. Abrams va bien pouvoir raconter dans l'épisode 9. Votre serviteur a personnellement vu chaque film de la saga au moins 10 fois (voire 20). Il n'a pas réussi à revoir celui-ci une deuxième fois en entier. Bref, revoyez la trilogie originale et la prélogie, et oubliez la nouvelle trilogie, elle n’en vaut pas la peine. Par Claude
Claude - Le 19 octobre 2019 à 11:41