La Machine à câlins / Scott Campbell

Livre

Campbell, Scott. Auteur

Edité par Little Urban. Paris - 2015

Une histoire autour d'une irrésistible machine qui câline petits et grands.

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Type de document
Album
Langue
français
Description physique
n. p. ; illustrations en couleur ; 28 x 24 cm
année de publication
2015
Collection
Albums
Contributeurs
Cote(s)
  • I CAM jaune
Sections
Apostrophe Jeunesse
ISBN
978-2-37408-000-0
Numéro du document
9782374080000
Popularité
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Sujets
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Musique audio - 2006 - Piano concertos (The) / Johannes Brahms

Disponible à Médiathèque L'Apostrophe

Musique & Cinéma | 3 BRAH 30.11 | Disque compact | En rayon

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Biographie

Johannes Brahms (né le 7 mai 1833 à Hambourg, mort le 3 avril 1897 à Vienne) est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre allemand. Il est considéré par beaucoup comme le « successeur » de Ludwig van Beethoven et sa première symphonie a été décrite par Hans von Bülow comme étant la 10e symphonie de Beethoven. Johannes Brahms est le descendant d'une famille très ramifiée en Basse-Saxe et au nord de l'Allemagne. Son père, artisan de profession, utilisait la musique comme gagne-pain. Il jouait du cor d'harmonie et de la contrebasse et se produisait dans des petits ensembles à Hambourg. Il donna ses premières leçons de musique à Brahms, qui déjà tout jeune était attiré par tous les instruments de musique. Brahms suit ses premiers cours de piano à l'âge de sept ans, et son principal professeur, Eduard Marxsen, le forme avec l'espoir d'en faire un virtuose du piano, lui enseignant l'art de Bach, Mozart et Beethoven, qui le marqueront à jamais, mais sans brider ses dons créatifs. Ses talents de pianiste lui permettent d'honorer des engagements dès treize ans dans les tavernes de Hambourg. Ses dons pour la composition sont déjà visibles pendant ses jeunes années : ses pièces pour piano "Fantaisie sur une valse populaire" qu'il a composé en 1849 sont la preuve de sa virtuosité pianistique. Brahms a développé un art qui lui est propre : il a publié ses premières œuvres en utilisant souvent un pseudonyme (G. W. Marcks, Karl Würth) et en donnant un nombre plus haut à ses numéros d'opus. Au début, il composait exclusivement des œuvres pour piano -- il connaissait moins les possiblités et les limites de l'orchestre, et plus tard, pour composer ses premières œuvres pour orchestre, il a demandé de l'aide à ses amis plus expérimentés. En 1853, son ami le violoniste hongrois Eduard Reményi, avec qui il est en tournée, lui permit de faire la connaissance du violoniste Joseph Joachim résidant à Hanovre. Ce dernier fit d'emblée la remarque suivante sur Brahms : « Dans son jeu se trouve le feu intensif, je dirais même l'énergie fataliste et la précision du rythme, qui laissent paraître l'artiste, et ses compositions montrent déjà beaucoup de choses remarquables que je n'ai jusqu'à présent rencontrées chez aucun autre jeune artiste de son âge »1. Joachim a conseillé à Brahms de s'adresser à Franz Liszt, qui à cette époque était chef d'orchestre à la cour de Weimar. Liszt promit à Brahms de le mentionner dans une lettre à l'éditeur Breitkopf & Härtel. Brahms ne se fit pas beaucoup d'illusions et écrivit immédiatement une lettre à Joachim où il lui demandait de l'introduire dans le milieu artistique. Il s'ensuivit que Joachim décida Brahms de rendre visite à Robert Schumann qui résidait à Düsseldorf. En 1857, Brahms emmenagea à Detmold. Chef des chœurs à la cour princière de Detmold, il composa deux sérénades pour orchestre et son premier concerto pour piano op. 15 en ré mineur pour lequel Joseph Joachim lui donna des conseils sur l'orchestration. Il est souvent interprété comme le reflet de sa passion vaine pour Clara Schumann ; cette histoire venait tout juste de se terminer. Il fut joué la première fois le 22 janvier 1859 à Hanovre, et fut rejoué le 27 du même mois à Leipzig, mais n'obtint pas l'enthousiasme espéré. Brahms ne cacha pas sa déception, et prévit de faire une seconde œuvre qui sonnerait complètement différemment, ce qu'il fit 22 ans plus tard avec son deuxième concerto pour piano op. 83 en si bémol majeur. Pendant son séjour à Detmold, outre le concerto pour piano, il a également composé des sérénades pour orchestre, des lieders, dont „Unter Blüten des Mai’s spielt’ ich mit ihrer Hand“. Ce lied évoque une autre rencontre, celle d'Agathe von Siebold. Un été, il s'était abandonné à la passion, tellement ostensiblement, que Clara Schumann fut vexée qu'il ait rencontré une autre femme aussi vite. Son deuxième sextuor pour instruments à cordes fait allusion dans la première phrase à Agathe von Siebold : il contient en effet la suite de notes: la-sol-la-si-mi (en allemand : A-G-A-H-E). Peu de temps après qu'ils se soient fiancés, Brahms changea d'avis. Il se considérait incapable d'avoir une liaison pour le moment – et il n'en aura jamais : Brahms est resté toute sa vie célibataire. En mai 1859, il s'établit à Hamburg. Il y composa par exemple les „Magelonen-Gesänge“ – mais il ne les finit qu'en 1869 –, de la musique de chambre et de nombreuses variations pour piano : „… sur un thème original“, „… sur un thème hongrois“, „… sur un thème de Händel“, „… sur un thème de Schumann“ (à quatre mains). En 1860, Brahms fit la connaissance de l'éditeur Fritz Simrock. Celui-ci, en éditant ses œuvres, a été un facteur déterminant pour lui permettre d'être connu du public, car il n'était pas toujours facile pour Brahms dans les années 1860 de publier ses propres compositions. L'éditeur était prudent – le premier concerto pour piano n'eut aucun succès ; de plus, les pièces de Brahms sont réputées difficiles à jouer. Le perfectionnisme de Brahms était un autre obstacle : souvent, il faisait patienter son éditeur avant l'envoi de ses manuscrits, car il lui semblait qu'il pouvait encore apporter une amélioration à sa composition. La raison pour quitter Hamburg était que Brahms s'était fâché avec son mécène et ami Theodor Avé-Lallemant qui ne lui a pas accordé en 1862-63 le poste de directeur du Philharmonischen Konzerte, mais lui avait quand même donné le poste de chef de chœur de l'académie de chant. Même si Brahms n'a jamais présenté officiellement sa candidature au poste, il était profondément blessé que Julius Stockhausen lui soit préféré. Ceci a détérioré les relations amicales entre Brahms et Avé-Lallemant pour plusieurs années. En 1862, il rejoint Vienne où il rencontre Karl Goldmark et marque l'époque où sa gloire de compositeur grandit. Brahms a joué son quatuor en sol mineur lors d'une soirée privée avec Josef Hellmesberger senior, qui dira ensuite de lui que c'est le successeur de Beethoven („Das ist der Erbe Beethovens.“). Brahms n'aimait pas trop ce compliment, car cela mène à des comparaisons, et il craignait d'être considéré comme l'égal de Beethoven. En 1863, Brahms accepta l'offre de devenir le chef de chœur de l'Académie de chant de Vienne. Mais dès 1864 il abandonna son poste, ne se sentant pas capable d'assumer les charges administratives liées à ce travail. Des œuvres qu'il a écrites par la suite font partie notamment le Requiem allemand ainsi que les Danses hongroises. Le requiem, qui ne suit pas les textes traditionnels en latin mais contient des extraits de la Bible en langue allemande, a été célébré d'une manière enthousiaste lors de la première à Bremen. En revanche, la publication des Danses hongroises, pour lesquels Brahms s'est inspiré d'airs tsiganes très connus, a presque généré un scandale. En effet, Brahms avait atteint avec celles-ci un public beaucoup plus large qu'avec ses précédentes œuvres, mais d'autres musiciens, dont son vieil ami Reményi, ont voulu se faire passer pour les auteurs de ces danses. En 1870, il rencontre le chef d'orchestre Hans von Bülow qui fit beaucoup pour sa musique. A cet époque, Brahms en tant que pianiste était couronné de succès et pouvait gagner sa vie sans emploi fixe. Toutefois, il prit la direction de la Wiener Singvereins, qu'il abandonna pourtant en 1875. Avec les compositions qu'il avait déjà publiées, lui et son éditeur Simrock gagnaient tellement d'argent que ce dernier le supplia de publier de nouvelles œuvres. Brahms écrivit ses quatre symphonies en l'espace de neuf ans, ce qui est un temps record. En comparaison, 22 ans séparent ses deux concertos pour piano, et les symphonies ne sont pas les seules œuvres qu'il a composé pendant cette période. Sa première symphonie en do mineur op. 68 fut jouée la première fois le 4 novembre 1876 à Karlsruhe, et la deuxième symphonie en ré majeur op 73 le 30 décembre 1877. Brahms reçu le doctorat d'honneur de l'université de Breslau en 1879. En 1880, il travailla à deux ouvertures op. 80 et op. 81, desquelles il dira : « L'une pleure, l'autre rit ». En 1883, lors d'un séjour d'été à Wiesbaden, il termina sa troisième symphonie en fa majeur op. 90 qui sera représentée à Vienne. Et durant un autre séjour à Mürzzuschlag dans le Steiermark, il commença en été 1884 à travailler sur sa quatrième symphonie en mi mineur op. 98. qui sera jouée la première fois le 25 octobre 1885 à Meiningen. Par la suite, Brahms a composé surtout de la musique de chambre (sonates pour violon et violoncelle). En 1886, il devint président d'honneur de l'association de musiciens de Vienne. Pendant les vingt dernières années de sa vie, Brahms était une personnalité influente de la scène musicale internationale et il était admiré et vénéré en tant que pianiste, chef d'orchestre et compositeur. Il a reçu de nombreuses distinctions et propositions de devenir membre d'honneur, ce que Brahms commenta en ces mots : « Je préfère penser à une belle mélodie que recevoir l'ordre de Leopold » 8. En 1889, il devint citoyen d'honneur de la ville de Hamburg. Brahms mourut le 3 avril 1897 à l'âge de 63 ans à Vienne, d'un cancer du foie selon quelques biographies. Il s'est avéré qu'un cancer du pancréas était à l'origine de sa mort. Il fut inhumé au Cimetière central de Vienne. Le 14 septembre 2000, Johannes Brahms fut la 126ème personne et le 13ème compositeur à être reçu dans le Walhalla. Le buste fut sculptée par Milan Knobloch. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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