Daniel Humair, la batterie jazz / réalisé par Frédéric Fiard

Vidéo

Fiard, Frédéric. Metteur en scène ou réalisateur | Humair, Daniel - batteur

Edité par Créatifs événements - 2006

Daniel Humair fait partie de ces rares musiciens à la foi virtuoses et novateurs. Sa grande expérience du jazz lui a permis de créer sa propre technique. Il a élaboré une pédagogie simple, à base d'exercices, de postures, d'astuces et de conseils judicieux. Ce dvd s'adresse non seulement aux batteurs mais également aux autres instrumentistes de tous niveaux.

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Musique audio - 2005 - Shades of jade / Music by Marc Johnson and Eliane Elias

Disponible à Médiathèque L'Apostrophe

Musique & Cinéma | 1 JOHN 02 | Disque compact | En rayon

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Biographie

FAURÉ Gabriel (1845 - 1924) «La tonalité, les accords, les rythmes, les formes sont ceux que Gabriel Fauré a trouvés quand il a commencé de servir la musique ; entre ses mains, ces choses usuelles sont devenues précieuses.» NADIA BOULANGER Gabriel Fauré, né à Pamiers le 12 mai 1845 et mort à Paris le 4 novembre 1924, est un compositeur français. Élève de Saint-Saëns à l'École Niedermeyer de Paris, il est d'abord organiste à l'église de la Madeleine à Paris. Il est ensuite professeur de composition au Conservatoire de Paris, puis directeur de l'établissement de 1905 à 1920. Avec Debussy et Ravel, il est l'un des grands musiciens français du début du XXe siècle. * Biographie Gabriel Fauré est le fils de Toussaint-Honoré Fauré et de Marie-Antoinette-Hélène Lalène-Laprade. Très jeune, il est placé chez une nourrice puis, dès l'âge de neuf ans, il quitte la maison familiale de Pamiers dans l'Ariège et part à Paris pour étudier à l'École Niedermeyer, qui formait alors des organistes d'église et des chefs de chœur. Il y étudie onze années avec plusieurs musiciens de premier plan, dont Camille Saint-Saëns qui lui présente la musique des compositeurs contemporains de l'époque (Robert Schumann, Franz Liszt). En 1870, Fauré s'engage dans l'armée et prend part aux combats pour lever le Siège de Paris pendant la Guerre franco-prussienne. Pendant la Commune de Paris, il demeure à Rambouillet et en Suisse, où il enseigne à l'École Niedermeyer qui avait été déplacée. Il retourne à Paris en octobre 1871 et devient organiste titulaire à l'église Saint-Sulpice tout en participant régulièrement au salon de Saint-Saëns et de Pauline Garcia-Viardot. Il y rencontre les principaux musiciens parisiens de l'époque et forme avec eux la Société Nationale de Musique. En 1874, Fauré arrête de travailler à Saint-Sulpice et remplace à l'Église de la Madeleine Saint-Saëns souvent absent. Quand ce dernier prend sa retraite en 1877, Fauré devient chef de chœur. À la même époque, il se fiance avec Marianne Viardot, la fille de Pauline, mais ces fiançailles sont assez vite rompues par Marianne. Déçu, il voyage à Weimar, où il rencontre Liszt, et à Cologne pour y assister aux productions des Nibelungen de Richard Wagner. Fauré admirait Wagner, mais il est aussi un des rares compositeurs de sa génération à ne pas être tombé sous son influence. En 1883, Fauré épouse Marie Fremiet, avec qui il a deux fils. Pour subvenir aux besoins de sa famille, Fauré assure les services quotidiens à l'Église de la Madeleine et donne des leçons de piano et d'harmonie. C'est seulement durant l'été qu'il a le temps de composer. Il gagne peu d'argent de ses compositions. Durant cette période, Gabriel Fauré écrit plusieurs œuvres importantes, de nombreuses pièces pour piano et des chansons, mais les détruit pour la plupart après quelques présentations et n'en retient que quelques mouvements pour en réutiliser les motifs. Pendant sa jeunesse, Fauré était très heureux, mais la rupture de ses fiançailles et ce qu'il perçoit comme un manque de reconnaissance musicale le mènent à la dépression qu'il qualifie de « spleen ». Cependant, dans les années 1890, la chance lui sourit. Il voyage à Venise, où il rencontre des amis et écrit plusieurs œuvres. En 1892, il devient inspecteur des conservatoires de musique en province, ce qui signifie qu'il n'a plus à enseigner à des étudiants amateurs. En 1896, il est nommé organiste en chef à l'Église de la Madeleine et succède à Jules Massenet comme professeur de composition au Conservatoire de Paris. Il enseigne alors à de grands compositeurs comme Maurice Ravel et Nadia Boulanger. De 1903 à 1921, Fauré est critique au Figaro. En 1905, il succède à Théodore Dubois comme directeur du Conservatoire de Paris. Il y procède à de nombreux changements. Sa situation financière devient meilleure et sa réputation de compositeur s'accroît. Fauré est élu à l'Institut de France en 1909. Il rompt alors avec la vieille Société Nationale de Musique. Mais son ouïe faiblit et il perçoit de façon distordue les hautes et basses fréquences. Sa responsabilité au Conservatoire, combinée à sa perte d'audition[1], font que la production de Fauré est grandement réduite. Pendant la Première Guerre mondiale, il reste en France. En 1920, à 75 ans, il prend sa retraite du Conservatoire. Il reçoit la même année la Grand-Croix de la Légion d'honneur, une distinction encore rare pour un musicien. Sa santé est fragile, en partie en raison d'une consommation excessive de tabac. Malgré cela, il reste à l'écoute des jeunes compositeurs, en particulier les membres du groupe des Six. Gabriel Fauré est mort de pneumonie à Paris en 1924. Des funérailles nationales eurent lieu à l'Église de la Madeleine. Il est inhumé au Cimetière de Passy à Paris. * Musique Les œuvres de Fauré, de facture classique, se distinguent par la finesse de leur mélodie ainsi que par l'équilibre de leur composition. Le langage harmonique de Gabriel Fauré est de nos jours étudié dans les conservatoires. C'est un style d'écriture à part entière, présentant de nombreuses idées originales. Gabriel Fauré est considéré comme le maître de la mélodie française. Ses œuvres vont du pur classicisme - lorsqu'au début de sa carrière, il imite le style de Haydn et Mendelssohn - au romantisme, pour aboutir à une esthétique du XXe siècle. Elles sont basées sur une profonde assimilation des structures harmoniques qu'il avait apprises, à l'École Niedermeyer, de son professeur Gustave Lefèvre, qui a écrit en 1889 un Traité d'harmonie. Cet ouvrage présente une théorie de l'harmonie sensiblement différente de la théorie classique de Jean-Philippe Rameau : les accords de septième et de neuvième n'y sont plus considérés comme dissonants et la quinte peut être altérée sans changer le mode. De plus, la compréhension des modes d'église est perceptible dans plusieurs passages modaux de ses œuvres, en particulier les mélodies. En opposition avec son style harmonique et mélodique très novateur à cette époque, les subtils motifs rythmiques sont répétitifs, avec des modulations similaires à celles que l'on peut trouver dans la musique de Brahms. Ses œuvres pour piano utilisent des arpèges et une mélodie entremélée des deux mains, avec des substitutions de doigtés, naturelles chez l'organiste, mais dont l'interprétion est parfois difficile pour le pianiste. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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