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Musique de chambre : 1955-1990 / Iannis Xenakis
Musique audio
Edité par Disques Montaigne - 1992
- Tetras : pour quatuor à cordes
- Mists : pour piano
- Kottos : pour violoncelle
- Herma : pour piano
- Embellie : pour alto
- Mikka : pour violon
- Akea : pour quintette avec piano
- Dikhthas : pour violon et piano
- Tetora : pour quatuor à cordes
- Nomos alpha : pour violoncelle
- Ikhoor : pour trio à cordes
- Evryali : pour piano
- St-4 : pour piano
- à R. : pour piano
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Musique audio - 1990 - Musique de chambre : 1955-1990 / Iannis Xenakis
Disponible à Médiathèque L'Apostrophe
Musique & Cinéma | 4 XENA 34 | Disque compact | En rayonAutre format
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Biographie

Iannis Xenakis est né le 29 mai 1922 à Braïla et mort le 4 février 2001 à Paris. Architecte et ingénieur de formation, élève notamment de Le Corbusier, il s'intéresse d'abord plus particulierement à la musique sérielle, mais il en dénonce rapidement les excès dogmatiques. Il met alors en place la musique stochastique (régie par des lois statistiques), qui permettent au calcul stochastique d’offrir à la composition une procédure semi-automatisée. L'ordinateur augmentera la possibilité de créer un véritable « processus » de création, conçu dans sa globalité. Il s'intéresse aussi dans le champ de la musique acoustique à une nouvelle spacialisation en plaçant les musiciens de manière inhabituelle, parmi le public, par exemple, ou réitérant des procédures antiques autour ou à distance du public. Xenakis créa en 1976 une interface graphique, l'UPIC, avec laquelle il relie le monde visuel du graphisme et le monde sonore de la musique. Il fut lauréat du Prix de Kyoto en 1997. En 1956, fut publiée une théorisation de la musique stochastique, qui s’appuie entre autres sur la théorie des jeux de John von Neumann. Le hasard n’y est déjà plus une simple chance ; chez Xenakis, contrairement à la troisième sonate de Boulez ou aux autres œuvres « ouvertes », contrairement à Cage, et à sa démission du compositeur, la probabilité est entièrement calculée, les règles explicitées (cf Achorripsis ou ST/10-1 en 1961). Le processus global est prévisible, même si les événements qui le composent sont aléatoires. Par cette philosophie de la création, Xenakis essaie de se rapprocher des phénomènes biologiques et des événements du monde vivant. En 1957, apparurent les premières pièces électroniques stochastiques : les Diamorphoses. Pour la première fois, ces théories bénéficièrent d’un soutien technique à la composition avec un ordinateur IBM. Cette pièce, qui fut aussi la première écrite par Xenakis au G.R.M., représente une des premières réalisations abouties dans ce domaine de la composition « calculée ». Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.