2 avis
La Serpe / Philippe Jaenada
Livre
Edité par Julliard. Paris - 2017
Le parcours d'Henri Girard, accusé en 1941 d'avoir assassiné son père, sa tante et leur bonne dans leur château près de Périgueux. Il est emprisonné durant dix-neuf mois. Un as du barreau de l'époque obtient son acquittement. Henri dilapide la fortune familiale et s'exile en Amérique latine, avant de revenir en France sous le pseudonyme de Georges Arnaud pour publier Le salaire de la peur. Prix Femina 2017. Electre 2017
- Type de document
- Fictions Adultes
- Langue
- français
- Description physique
- 643 p. ; 23 x 14 cm
- année de publication
- 2017
- Cote(s)
- R JAE
- Sections
- Apostrophe Adultes ; Louis Aragon Adultes
- ISBN
- 978-2-260-02939-7
- EAN
- 9782260029397
- Numéro du document
- 9782260029397
- Popularité
- Document emprunté 2 fois ces 6 derniers mois
- Sujets
- Genre
- Témoignage
Consulter en ligne
Se procurer le document
Les conditions de réservation ont été modifiées : il vous est maintenant possible de réserver des documents disponibles.
La réservation de document indisponible (en prêt) reste toujours possible.
Merci d'attendre d'être notifié par email ou par courrier pour venir chercher votre réservation.
Pour réserver un exemplaire, il est nécessaire d'être authentifié. Les réservations dépendent de votre abonnement en cours.
Vidéo - 2013 - Journal d'un dégonflé. Journal d'un dégonflé 2 / films réalisés par Thor Freudenthal et David Bowers
Disponible à Médiathèque L'Apostrophe
Musique & Cinéma | F FRE Comédie | DVD Fiction | En rayonAutre format
Issus de la même oeuvre
En savoir plus
Biographie

Monty Alexander, pianiste, né Bernard Montgomery Alexander, le 06 juin 1944 à Kingston (Jamaïque). Initié au piano classique à 6 ans, il sera influencé dans sa jeunesse par, entre autres, Louis Armstrong ou Nat "King" Cole. A partir de ses origines jamaïquaines, d'une technique singulière, précise et d'un swing sensible, il installe son style précis, vif et joyeux. Il arrive à 17 ans aux États-Unis en 1961. Miami puis New-York où il rencontre Frank Sinatra, en l'espace de quelques années, il collaborera avec Wynton Kelly, Ray Brown, Milt Jackson, Dizzy Gillespie, Clark Terry ou encore Sonny Rollins. Il enregistre dès 1964 ses propres albums. Du blues à toutes les formes de jazz , sa discographie est impressionnante, une cinquantaine d'albums. Dès 1976, en trio, sa configuration de prédilection, son toucher pianistique en fera un des invités de marque du Festival de Jazz de Montreux* (Suisse) et des autres festivals estivaux. Tout au long de sa carrière, il rend hommage à ses pairs et souvent amis. Il enregistre avec le guitariste jamaïquain Ernest Ranglin, travaille avec Quincy Jones, participe à la bande son de "Bird", le film Clint Eastwood sur Charlie Parker, il sera aussi présent auprès de Natalie Cole pour l'album "Unforgettable" en l'honneur de Nat "King" Cole. Enfin, plus récemment, sous le label Telarc, c'est la musique de Bob Marley qui l'inspire avec deux albums "Stir It Up" et "Concrete Jungle". * avec le bassiste John Clayton et le batteur Jeff Hamilton en 1976. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
Artistes similaires
Avis
Avis des lecteurs
-
FAÎTES ENTRER L'ACCUSÉ
Innocenté du meurtre de son père, sa tante et une servante en 1941 il se fera connaître plus tard comme Georges ARNAUD- Le salaire de la peur- JAENADA reprend l'enquête à zéro, bâclée à charge par la gendarmerie locale, démontée par un ténor du Barreau ; c'est long, très très long-600 pages quand même ! Heureusement que, de temps en temps, Jaenada se livre à ses habituelles et savoureuses digressions.
M. LOTOUX François - Le 19 avril 2018 à 19:56 -
Une trop longue enquête
Les 175 premières pages sont une biographie quelque peu subjective de la vie de Henri Girard qui connaîtra la gloire littéraire sous le pseudonyme de Georges Arnaud, auteur du roman "Le salaire de la peur ". La suite est une très longue enquête conduite par Jaenada sur le triple meurtre dont fut accusé Henri Girard en octobre 1941. Le sujet est très documenté. Il aurait pu être passionnant mais on s'ennuie quelque peu dans cette quête conduite 70 ans après les faits. Beaucoup de détails et de multiples digressions ( emploi de triples parenthèses) émaillent le récit. Ce qui fait d'ordinaire l'originalité de l'auteur se révèle ici un handicap pour un récit qui n'a de roman que le nom. Heureusement, certains lecteurs apprécieront. A chacun de juger.
J56 - Le 26 décembre 2017 à 16:55