Canciones sacrae / Roland de Lassus

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Lassus, Roland de (1532-1594) - compositeur franco-flamand. Compositeur

Edité par Harmonia Mundi - 2008

  • Nectar et ambrosiam - Prolongati sunt dies mei - Deficiat in dolore vita mea - Qui timet deum - Ego cognovi quod erit bonum - Respicit dominus vias hominis - Timor domini principium sapientiae - Ad dominum cum tribularer - Vidi calumnias quae sub sole gerentur - Beatus homo - Cantabant canticum moysi - Quam bonus israel deus - Diligam te, domine - Recordare jesu pie

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Biographie

Compositrice, auteur et arrangeur, actrice aussi, Elisabeth Kontomanou est née en France, d’une mère grecque et d’un père guinéen - disparus trop tôt. Elle évoque avec tendresse deux souvenirs précis de sa petite enfance, qui démontrent à la fois la précocité de sa vocation et l’importance que revêtirent très tôt à ses yeux la musique et le chant - doux refuges, niches ouatinées, délicieux outils de communication pour l’enfant qui, jusqu’à sa troisième année, fut incapable de parler. A quatre ans donc, elle découvre avec émerveillement la Callas (New-Yorkaise, d’origine grecque aussi) sur le petit écran, qu’elle s’ingéniera par la suite à imiter avec la candeur de son âge. Deux ans plus tard, la musique de Stevie Wonder est un autre éblouissement, qui invite la jeune fille à la conscience de sa différence et de sa négritude dans un monde qui lui apparaît désormais très blanc. A cette époque, elle déteste l’école – qui le lui rend bien. Jusqu’à l’adolescence, les étapes de sa vie seront alors rythmées par les découvertes musicales, comme dans les meilleurs romans d’apprentissage. L’acquisition d’un tourne-disques inaugure « ses » années Motown, où Diana Ross règne presque sans partage. A treize ans, un ami lui offre la possibilité d’enregistrer : ce seront des chansons d’influence Rn’b. A seize ans, elle passe une petite annonce : la jeune chanteuse cherche un orchestre. Puis Elisabeth Kontomanou, désormais choriste, fait une troisième découverte qui va engager tout son avenir : Carmen McRae. Le jazz entre en scène. En 1980, les circonstances l’amènent à s’établir en Suède. Elle réside au beau milieu de la forêt, coupe son bois pour se chauffer, mais un quatre-pistes fait ses délices, avec lequel elle compose des mélodies aux saveurs « ethniques ». Six ans plus tard, l’urbanité se rappelle à son bon souvenir : Paris, fondation du quartet « Conversation », victoire au Concours de La Défense, qui lui ouvre la porte des festivals de jazz en France et lui offre la possibilité d’effectuer une tournée aux Antilles, grâce aussi à Alain Jean-Marie, rencontré peu après la compétition. 1988 voit le temps des rencontres (où se tissent les affinités électives) : le pianiste Jean-Michel Pilc, rejoint bientôt par Thomas Bramerie, Pierre Dayraud et Stéphane Belmondo ; Michel Legrand, qui choisit Elisabeth Kontomanou pour chanter le rôle principal de son film musical Masque de lune et qui l'engage également pour une série de concerts avec son bigband. La voix prend son envol, séduisant d’autres contrées et d’autres âmes. En 1993, la sortie d’un premier enregistrement produit par EMP prélude à des tournées en France, en Afrique du Nord et dans les pays de l’Est. Deux ans plus tard, Elisabeth Kontomanou s’installe aux Etats-Unis. En terre promise, elle est une des très rares vocalistes à jouer en tant que « side-woman », selon sa propre expression. Ses origines et le talent qu’elle manifeste dans l’art du « wordless » - dans la grande tradition de Milton Nascimento et Flora Purim – séduisent les musiciens américains qui, à cette époque, se tournent de plus en plus vers la « world music ». Elisabeth Kontomanou hante ces lieux mythiques où l’esprit du jazz se renouvelle dans le culte jamais nostalgique de la tradition - The Blue Note, The Village Vangard, Small’s Jazz… Elle s’y lie avec des personnalités (rapidement déterminantes) telles que Leon Parker, Sam Newsome, James Hurt (en citer d’autres, qu’on me pardonne, reviendrait à narrer toute la chronique du New-York éperdu de jazz de ces années-là); Quelques faits encore, pour confirmer le vœu qu’avait fait à soi-même la petite fille qui s’émerveillait du pouvoir de la musique. En 1998, Elisabeth Kontomanou est en tournée à travers les Etats-Unis avec le groupe du pianiste Andy Milne. Entre 1999 et 2000, elle enregistre deux albums pour le label Steeple Chase : « Embrace » en sextet avec J.D Allen et Sam Newsome, « Hands & Incantation » en duo avec Jean-Michel Pilc. C'est durant cette période qu'elle forme un octet appelé « The Fort Green Project » (du nom du quartier où elle vivait à Brooklyn), pour lequel elle arrange et compose, en ignorant, mais sans dédain, les instruments harmoniques. En 2001 et 2003, elle est sollicitée pour participer à deux enregistrements du guitariste Mike Stern, « Voices » et « These Times ». Entre-temps, elle est nominée aux Django D'or pour « Embrace ». Elle fait ses débuts d'actrice en 2003, dans le off-Broadway « RagTime », incarnant le personnage tragique de Sarah. Délicieuse expérience qu’Elisabeth Kontomanou aimerait revivre. L’arc des émotions s’enrichit d’une nouvelle corde. Elisabeth Kontomanou forme en 2004 un duo avec le batteur Ari Hoenig. Elle trouve dans cette alliance, inhabituelle pourrait-on croire, des ferments de liberté autant que de contrainte - Callas n’aurait pas dit mieux. L’autodidacte revendiquée, l’artiste qui a depuis longtemps cultivé l’art de l’improvisation, comme une manière pudique de « contourner la mélodie », peut désormais aborder les standards en toute sérénité. Parus en 2004 et 2005 chez Nocturne, les albums « Midnight Sun » et « Waiting For Spring » en sont les témoignages éclatants. Pour donner un sens nouveau à ces mots tant de fois entendus, elle sait compter sur le regard bienveillant de deux anges gardiens : Ella Fitzgerald et Charles Mingus. En 2006, la voici consacrée « meilleur artiste vocal » aux Victoires du jazz. L’année suivante, Elisabeth Kontomanou livre ses propres compositions dans un album au titre évocateur, « Back To My Groove », et lors d’une tournée de cent cinquante dates qui culmine au Casino de Paris le 22 novembre. Aujourd’hui est plein de promesses. Et c’est sans nostalgie qu’elle revient aux standards. Elle sait que leur beauté ne tient pas dans la contrainte où on les force à être immuables mais dans les vérités qu’on en révèle en les ré-interprétant. Et, comme la bougie qui éclaire un visage ne trahit pas les mêmes émotions qu’un puissant projecteur qui l’illumine, l’artiste a choisi de se confronter à des effectifs différents. Sorti en 2008, « Brewin’ The Blues », comme aux meilleurs temps du lied, célèbre la complicité intimiste avec le seul clavier du pianiste Laurent Courthaliac, un an avant la parution de « Live at Arsenal » où la voix de l’artiste s’insinue et s’affirme parmi les somptuosités de l’Orchestre Philharmonique de Lorraine. (c) Dominique Druhen Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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