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Théorie générale de l'oubli / José Eduardo Agualusa
Livre
Edité par Métailié. Paris - 2014
Luanda en Angola, 1975. A la veille de l'indépendance, Ludovica, agoraphobe, s'enferme chez elle craignant la foule et le changement de régime. Elle y restera 30 ans coupée de tout, en compagnie de son chien Fantôme.
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- Type de document
- Fictions Adultes
- Langue
- français
- Description physique
- 168 p. ; 22 x 14 cm
- année de publication
- 2014
- Collection
- Bibliothèque portugaise
- Liens
- Est une traduction de : Teoria geral do esquecimento
- Contributeurs
- Cote(s)
- R AGU
- Sections
- Apostrophe Adultes
- ISBN
- 978-2-86424-946-7
- Numéro du document
- 9782864249467
- Popularité
- Document emprunté 1 fois ces 6 derniers mois
- Sujets
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Livre - 2011 - 1Q84 / Haruki Murakami
Disponible à Bibliothèque Louis Aragon
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Biographie

Philip Glass est issu d'une famille juive émigrée de Lituanie. À 19 ans, il obtient sa licence à l'Université de Chicago avec une double spécialisation en mathématiques et en philosophie. Il entre ensuite à la Juilliard School de New York où il suit les enseignements de Darius Milhaud. Il part étudier à Paris, de 1963 à 1965, avec Nadia Boulanger qui lui enseigne au conservatoire américain de Fontainebleau l'analyse des compositions de Johann Sebastian Bach (Le Clavier bien tempéré), Wolfgang Amadeus Mozart (les Concertos pour pianos), et Ludwig van Beethoven. Glass découvre également la musique sérielle de Pierre Boulez, mais il affirmera plus tard qu'elle ne lui donnait « aucune excitation ». En revanche, cette époque à Paris est pour lui la découverte du théâtre de Jean-Louis Barrault à l'Odéon et de la nouvelle vague française au cinéma avec les films de Jean-Luc Godard et François Truffaut. À Paris, il travaille sur la transcription de musiques de Ravi Shankar qu'il côtoie pour la composition de la musique du film Chappaqua. L'année suivante, en 1966, il découvre l'Inde, et entre en contact avec les réfugiés tibétains dans le nord du pays ; il rencontrera le Dalaï Lama en 1972. Cette période de travail avec Ravi Shankar l'aide à acquérir un style personnel, marqué par les processus graduels et répétitifs. De retour à New York, il reprend contact avec ses anciens camarades de la Juilliard School comme Steve Reich, qui commence alors ses créations minimalistes dans les galeries et les lieux alternatifs de Chelsea. Il crée dans les années 1970 le Philip Glass Ensemble. Au début des années 1980, Glass produit le groupe de musique new-wave Polyrock. Il a notamment collaboré avec différents quatuors, dont le Kronos Quartet pour créer une nouvelle bande originale au film Dracula. Il a été nommé aux Oscars et aux Golden Globes dans la catégorie « meilleure musique », respectivement pour les films The Truman Show et The Hours. Sur le plan personnel, Philip Glass se décrit comme un « Juif-Taoiste-Hindou-Toltèque-Bouddhiste », et un grand défenseur de la cause du Tibet. En 1987, il a co-fondé la Tibet House avec le professeur Robert Thurman de l'Université Columbia et l'acteur Richard Gere. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.
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Avis des professionnels
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Vivre isolée en pleine guerre civile
En 1975 en Angola, Ludovica souffre d’agoraphobie et vit recluse dans son appartement. Cette vie solitaire contraste avec la réalité de son pays rongé par la guerre civile. Au gré des coupures d’eau et d’électricité elle développera des stratégies de survie pendant près de trente ans. Nous partageons son quotidien et ses interrogations à travers la lecture de son journal intime. En parallèle d’autres personnages nous permettent de découvrir ce qui se passe en dehors de l’appartement. L’auteur s’est inspiré de faits réels. Il a pu consulter les journaux intimes de la vraie Ludovica et nous livre une histoire surprenante et parfois poétique. Comme dans la plupart de ses romans, il nous fait découvrir l’histoire de l’Angola, son pays d’origine.
Céline - Le 14 février 2017 à 15:38