Mon oncle Benjamin / un film d'Edouard Molinaro

Vidéo

Molinaro, Edouard. Metteur en scène ou réalisateur

Dans la France d'avant la Révolution française, Benjamin Rathery est médecin de campagne doublé d'un bon vivant. Volontiers frondeur, il s'attaque aux noblions, frôle les galères et chavire les coeurs.

Bonus : "A genoux, chrétiens !", Alexandre Jardin et François Busnel rencontre Edouard Molinaro (26 min) - Reportage sur le tournage (9 min) - Bibliothèque de poche : Mon oncle Benjamin.

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  • sortie du film : 1969
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Musique audio - 2007 - Amants, heureux amants... : les plus beaux poèmes d'amour / dits par Serge Reggiani et Loleh Bellon

Disponible à Médiathèque L'Apostrophe

Apostrophe Adultes | Adultes 5e étage | P AMA | Texte lu sur CD | En rayon

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Biographie

Alessandro Scarlatti (2 mai 1660 – 24 octobre 1725) était un compositeur de musique baroque particulièrement connu pour ses opéras. Il est considéré comme le fondateur de l'école napolitaine d'opéra. Il était le père de Domenico Scarlatti. La musique de Scarlatti forme un lien très important entre la tentative de « musique nouvelle » du XVIIe siècle et l'école classique du XVIIIe siècle qui culmina avec Mozart. Ses premiers opéras (Gli equivoci nel sembiante (1679); l’Honestà negli amori (1680); Pompeo (1683), contenant les airs célèbres “O cessate di piagarmi” et “Toglietemi la vita ancor,” et d'autres encore jusqu'en 1685 environ) utilisent encore les cadences anciennes dans leur récitatifs et une très grande variété de formes très construites dans leurs charmants petits arias, parfois accompagnés par un quatuor à cordes, traités avec une élaboration soignée, parfois accompagnés du seul clavecin. Depuis 1697 environ et avant La Caduta del decemviri, peut-être sous l'influence du style de Giovanni Bononcini et problablement encore plus sous l'influence du goût du vice-roi, ses opéras deviennent plus conventionnels et communs du point de vue du rythme, cependant que son écriture devient plus rude, non sans éclat cependant (Eracles, 1700), les hautbois et les trompettes étant fréquemment utilisés, les violons jouant souvent à l'unisson. Les opéras composés pour Ferdinand de Médicis sont perdus, peut-être auraient-ils donné une idée plus positive de son style, sa correspondance avec le prince montrant qu'ils furent composés avec une sincère inspiration. Mitridate Eupatore, considérée comme son œuvre maîtresse, composée à Venise en 1707, contient une musique très en avance par rapport à ce que Scarlatti avait écrit pour Naples, à la fois techniquement et intellectuellement. Les derniers opéras napolitains (L'Amor volubile e tiranno (1700); La Principessa fedele (1712); Tigrane, 1715, &c.) sont plus ostentatoires et efficaces que d'une profonde émotion; l'instrumentation marque un grande avancée par rapport aux œuvres antérieures, la voix étant principalement accompagnée par le quatuor à cordes, le clavecin étant réservé exclusivement aux ritournelles instrumentales bruyantes. C'est dans l'opéra Teodora (1697) qu'est initié l'emploi du ritornello par l'orchestre. Son dernier groupe d'opéras, composés pour Rome, montre un sens poétique plus profond, un large et digne style de mélodie, un fort sens dramatique, particulièrement dans les récitatifs accompagnés, une technique qu'il fut le premier à utiliser dès 1686 (Olimpia vendicata) et un style beaucoup plus moderne d'orchestration, les cors apparaissant pour la première fois et traités avec des effets saisissants. En plus des opéras, oratorios (Agar et Ismaele esiliati, 1684; Oratorio de Noël, c. 1705; S. Filippo Neri, 1714; et d'autres) et sérénades, qui montrent tous un style similaire, Scarlatti écrivit près de cinq cent cantates de chambre pour voix soliste. Elles représentent la musique de chambre la plus intellectuelle de cette période et on peut regretter qu'elles soient restées à ce jour à l'état de manuscrits, car une étude attentive de ces dernières est indispensable à qui veut se former une idée de l'évolution de Scarlatti. Les quelques messes retrouvées (l'idée qu'il en aurait composé deux cents est peu crédible) et la musique religieuse en général sont comparativement de moindre importance, à l'exception de la grande Messe de Sainte Cécile (1721), qui est l'une des premières tentatives dans le style qui atteignit des sommets dans les grandes messes de Jean-Sébastien Bach et Ludwig van Beethoven. Sa musique instrumentale, bien qu'intéressante, semble d'une écriture très ancienne en comparaison de ses œuvres vocales. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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