Liebesleid, liebesfreud... / Fritz Kreisler

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Kreisler, Fritz (1875-1962). Compositeur

Edité par Deutsche Grammophon ; Polydor international - 1981

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  • La| Gitana / d'Isaac Albeniz
  • Rondino über ein thema von Beethoven
  • Caprice viennois op 2 / de Carl Maria von Weber
  • Zigeuner-Capriccio / d'Henri Wieniawski
  • Tambourin chinois / d'Antonin Dvorak
  • Recitativo und Scherzo-Caprice op 6 / d'Alexander Glasunov
  • Sérénade espagnole / d'Enrique Granados

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Biographie

Téléphone est un groupe de rock français fondé le 12 novembre 1976. L'histoire de Téléphone commence le 12 novembre 1976 au Centre américain de Paris, boulevard Raspail. Ce soir-là doit avoir lieu un concert des jeunes Jean-Louis Aubert et Richard Kolinka, deux musiciens qui ont déjà fait partie de quelques groupes, dont Masturbation et Sémolina (avec lequel ils sont parvenus à sortir un unique single). Ils ont préparé le concert avec une ardeur toute juvénile : pose d'affiches, concert gratuit et improvisé à la sortie du lycée... Seul problème : ils n'ont personne pour les accompagner. Ils font donc le tour des amis, et parviennent in extremis à trouver deux musiciens compétents et libres : Louis Bertignac et Corine Marienneau, tous deux anciens du groupe Shakin' Street. Les futurs Téléphone sont donc déjà au complet, même s'ils s'appellent encore « ! ». Devant un public étonnamment nombreux, ils jouent quelques compositions d'Aubert (dont Hygiaphone et Métro, c'est trop !) et des reprises de rock anglais (The Who, The Rolling Stones...), et remportent un succès hors du commun pour un petit groupe inconnu. Artistiquement, l'expérience se révèle marquante : les quatre musiciens déclareront plus tard avoir ressenti lors de ce premier concert une alchimie aussi mystérieuse qu'excitante, qui les pousse à rester ensemble. Avec l'aide d'un copain d'Aubert, François Ravard, qui fait office de manager, ils partent donc à la recherche d'engagements, jouant dans les MJC, les soirées dansantes, et bientôt les salles de spectacle sous le nom de « Téléphone » (faire la promotion d'un groupe dénommé « ! » s'étant révélé une tâche pour le moins complexe). En cette fin des années 1970, le rock n'existe quasiment pas en France. Ce qui s'en rapproche le plus est le mouvement « yéyé » (Claude François, Johnny Hallyday...), le plus souvent bien trop parodique pour être excitant. Les jeunes Téléphone, avec leur son sans concession inspiré des groupes anglais, font donc sensation partout où ils passent. Ils ne tardent pas à jouer au Gibus, prestigieux club parisien, puis deviennent des habitués des fins de soirée aux studios de Radio France avec Jean-Louis Foulquier. Les mois suivants, l'ascension du groupe est foudroyante : Le 26 mars 1977, à l'initiative de la RATP, le groupe donne un concert gratuit au métro République. En résulte un énorme embouteillage et le blocage de la ligne ! Le 2 mai, ils assurent la première partie d'Eddie & the Hot Rods au pavillon de Paris, leur volant la vedette. Le 7 juin, profitant de la défection de Blondie, ils jouent à l'Olympia en première partie du groupe anglais Television. Le concert remporte un très grand succès, et des critiques enthousiastes dans les journaux. Dès le lendemain, le groupe enregistre son premier 45 tours en public au Bus Palladium. Le 45 tour, autoproduit et édité par le label Tapioca, comprend Hygiaphone et Métro (c'est trop). Le disque, pourtant sorti sans aucune autre promotion que les concerts du groupe, remporte un succès très encourageant. Un mois plus tard, suite à un article paru dans le magazine « Rock & Folk », Téléphone est approché par la maison de disque Pathé-Marconi. Le 25 août 1977, moins d'un an après sa formation, le groupe est déjà signé. Les titres étaient signés Téléphone/Aubertignac (nom valise formé des deux noms : Jean-Louis Aubert et Louis Bertignac). Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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