2 avis
Le Garçon / Marcus Malte
Livre
Edité par Zulma. Honfleur (Calvados) - 2016
Le garçon n'a pas de nom et ne parle pas. Etre quasi sauvage, il ne connaît du monde que sa mère et leur cabane. En 1908, il se met en chemin et découvre le monde : les habitants d'un hameau, Brabek et Emma, puis la guerre, paroxysme de la folie des hommes. Ce roman esquisse l'itinéraire d'une âme neuve, qui s'éveille à la conscience et vivra des expériences tantôt tragiques, tantôt cocasses.
Prix Fémina 2016. Prix des Grands Espaces Maurice Dousset 2017
- Type de document
- Fictions Adultes
- Langue
- français
- Description physique
- 534 p. ; 21 x 14 cm
- année de publication
- 2016
- Cote(s)
- R MAL
- Sections
- Apostrophe Adultes
- ISBN
- 978-2-84304-760-2
- EAN
- 9782843047602
- Numéro du document
- 9782843047602
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Avis
Avis des lecteurs
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EPOUSTOUFLANT
Ce roman est remarquable ! Epoustouflant ! J'ai adoré ! Au commencement, j'aurais pu réellement penser qu'il allait m'ennuyer, mais je ne me suis pas arrêtée là. La suite est étonnante, avec pleins de rencontres intéressantes de tout bord et surtout un rencontre amoureuse. Des mots, une finesse, cela fait sourire parfois ! Quand soudain la guerre éclate. Le sentiment n'est plus le même, mais les mots résonnent avec justesse. Le garçon ne parle pas, n'a pas de prénom, mais il est robuste, un mental d'acier. Les années passent, elles sont tout autant difficile mais il reste toujours lui-même, peu importe les rencontres qu'il fera. Je ne suis pas étonnée qu'il ait eu un prix ! C'est mérité ! Je le recommande
Mme MORIN Cynthia - Le 09 juin 2021 à 13:39 -
LES GRANDS CIMETIERES SOUS LA LUNE
Si le récit couvre 30 années à compter de 1908, date à laquelle un garçon sauvage de 14 ans est recueilli dans un village perdu de Provence, puis par un lutteur de foire le principal de l'ouvrage tourne autour de la guerre de 14/18. La première attaque restera un morceau d'anthologie macabre. Les deux personnages, le garçon et son amante poétesse-musicienne bénéficient du verbe riche et inspiré de Malte. La matière romanesque aurait pu alimenter 3 ou 4 forts ouvrages - ici plus de 500 pages. A retenir : l'introduction naturaliste, la Grande Guerre et la conclusion amazonienne.
M. LOTOUX François - Le 28 avril 2017 à 15:41