L' Oeuf et la Poule / Iela Mari

Livre

Edité par Ecole des loisirs. Paris - 1990

Un oeuf vient d'être pondu. Quelque temps plus tard, il éclot.

Type de document
Album ; A consulter sur place
Langue
français
Description physique
n.p. ; 22 x 22 cm.
année de publication
1990
Contributeurs
Cote(s)
  • I 3
  • I MAR marron
  • I MAR violet
  • I MAR marron ferme
Sections
Louis Aragon Jeunesse ; Apostrophe Jeunesse
ISBN
2-211-01112-8 ; 978-2-211-01112-9
Sujets
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Musique audio - 1990 - Rouslan et Ludmila / Mikhail Glinka

Disponible à Médiathèque L'Apostrophe

Musique & Cinéma | 3 GLIN 55 | Disque compact | En rayon

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Biographie

Gustav Mahler, né à Kaliste u Humpolce (Rép. Tchèque), le 7 juillet 1860 et mort le 18 mai 1911, était un musicien autrichien. Bien qu’il fût principalement connu à son époque comme chef d'orchestre de premier plan, il est surtout célèbre aujourd'hui comme un compositeur important dont l’œuvre jette un pont entre la fin du XIXe siècle et la période moderne. Il a écrit neuf symphonies (la dixième étant restée à l'état d'esquisses) et plusieurs cycles de lieder dont Das Lied von der Erde. La musique de Mahler est ancrée dans la tradition allemande, celle de Jean-Sébastien Bach, de l’« école de Vienne » de Haydn, Mozart, Beethoven et Schubert et de la génération romantique de Schumann et Mendelssohn. Cependant l’influence décisive de son œuvre fut Richard Wagner, le seul selon lui dont la musique possédait réellement un « développement ». La Musique de Mahler La musique de Mahler combine des influences romantiques - comme le fait de donner des titres à ses symphonies, ou de leur associer des programmes - avec l’utilisation de la musique populaire viennoise et l’art contrapuntique, en utilisant les immenses ressources de l’orchestre symphonique. Le résultat de sa recherche pour étendre son univers musical fut qu’il développa la forme symphonique au point d’en faire éclater le moule formel. Une symphonie se devait d’être, dans ses termes, un univers entier. De ce fait, Mahler fut confronté à des difficultés dans la présentation de ses œuvres et eut tendance à en réviser sans fin les détails d’orchestration. On divise généralement ses symphonies selon trois périodes : * La première période, marquée par son interprétation des poèmes du recueil « des Knaben Wunderhorn » et parsemée de mélodies venant de sa propre mise en musique de ces mêmes poèmes, comprend les quatre premières symphonies. * Dans la deuxième période, comprenant les trois symphonies suivantes, l’expression devient plus sévère, plus tragique. Elle impressionna le public viennois tout autant qu’elle influença d’autres compositeurs. * La dernière période est marquée par une importance croissante de la polyphonie et comprend la symphonie n° 8 dite « des mille », la neuvième symphonie, la dixième, inachevée, ainsi que le cycle de lieder avec orchestre Das Lied von der Erde (le Chant de la terre). Mahler était obsédé par l’héritage de Beethoven. Tout en étant terrifié à l’idée d'écrire une symphonie qui portât le numéro neuf, il déclarait que chacune de ses propres symphonies était une « neuvième », avec autant d’impact et d’importance que celle de l’Ode à la joie. Peu de compositeurs ont à ce point mêlé leur vie personnelle et leur œuvre. Le manuscrit de la dixième symphonie de Mahler comporte des notes destinées à sa femme, qui avait une liaison avec Walter Gropius, et d’autres références autobiographiques. Pour compléter le portrait, ajoutons son obsession pour Dieu, avec qui on le disait en « converser fréquemment au téléphone », et pour la Nature. Ces aspects conduisirent à considérer sa musique, encore longtemps après sa mort, comme emphatique, voire enflée. Debussy, qui avait quitté ostensiblement la salle lors de la première de la 2e symphonie à Paris, avait déclaré : « Ouvrons l'œil (et fermons l’oreille)… Le goût français n’admettra jamais ces géants pneumatiques à d’autre honneur que de servir de réclame à Bibendum. » Pourtant, quelle que soit la durée de ces œuvres, ou l'effectif requis pour leur exécution, il est vrai aussi qu'elles constituent toujours une démonstration d'orchestration magistrale, ce que même les pires détracteurs de sa musique, à l'époque, étaient bien contraints de reconnaitre. Même dans des œuvres se contentant d'un orchestre "minimal" (comme sa 4ème symphonie), la délicatesse de l'orchestration, son inventivité, le fait que les timbres soient partie intégrante de la composition font de Mahler, sous bien des aspects, un héritier direct de Berlioz. Il est vrai que Mahler avait toujours cherché à innover et à étendre le genre symphonique, mais cela ne doit pas faire oublier qu’il était aussi un artisan minutieux, ce qui se voit dans ses méthodes de travail méticuleuses, dans la planification ordonnée de ses œuvres et dans ses études des maîtres antérieurs. L'héritage de Mahler Le rôle charnière de Mahler entre la période romantique et la période moderne n’est pas sans rappeler le rôle qu’avait joué Haydn pour la musique romantique. Ses compositions eurent une influence décisive sur les compositeurs Richard Strauss, Arnold Schönberg, Alban Berg et Anton Webern, ainsi que sur les chefs d’orchestre Bruno Walter et Otto Klemperer, qu’il avait tous les deux aidés dans leur carrière. Ses mélodies, parfois à la limite de la rupture, son goût des grands intervalles expressifs, ses modulations abruptes, l’utilisation d’accords dissonants sur des points clefs quand le programme le requiert, quitte à violer quelque peu la conduite des voix du contrepoint classique, ont rendu possible le grand saut vers l’atonalité. Parmi ses autres innovations, on trouve l’introduction d’instruments parfois « exotiques » dans l’orchestre (guitare, mandoline), l’extension de la section des percussions, l’usage de chœurs et de solistes vocaux dans la musique symphonique. En tant que chef d’orchestre, sa technique et ses méthodes ont survécu jusqu’à notre époque. Célèbre pour avoir dit que « la tradition, c’[est] la paresse », il exigeait un intense travail de répétitions avant un concert, ce qui conduisait à des tensions avec les orchestres qu’il dirigeait, quelle que pût être par ailleurs l’amélioration du résultat final. « Mon temps viendra » disait Mahler face aux difficultés qu’il rencontrait pour faire accepter ses œuvres et c’est en effet ce qui se produisit vers les années 1960, notamment grâce à Leonard Bernstein, puis, plus tard, en 1971, grâce à l’illustration musicale du film chef-d’œuvre de Luchino Visconti "Mort à Venise" par l'utilisation de l'adagietto de la 5e symphonie, ce qui va enfin engendrer un véritable engouement pour sa musique et sortir définitivement son œuvre toute entière du purgatoire relatif dans lequel elle était confinée depuis sa disparition. Read more on Last.fm. User-contributed text is available under the Creative Commons By-SA License; additional terms may apply.

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