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Godzilla / film réalisé par Roland Emmerich
Vidéo
Edité par Sony Pictures Home Entertainment - 2006
Une tempête effroyable se dechaîne sur le Pacifique, engloutissant un pétrolier tandis qu'un immense éclair illumine le ciel au-dessus de la Polynésie française. Des empreintes géantes creusent un inquiétant sillon à travers des milliers de kilomètres de forêts et de plages au Panama. Les navires chavirent au large des côtes américaines et ces horribles phénomènes s'approchent de plus en plus près de New York. Le chercheur Nick Tatopoulos est arraché à ses recherches afin d'aider les Etats-Unis à traquer le monstre qui est à l'origine de ces désastres mystérieux...
Avis des bibliothécaires :
On a souvent tendance à confondre Roland Emmerich avec Michael Bay : mêmes explosions grandioses, mêmes scénarios anémiques et même patriotisme américain. Avec parfois un zeste de second degré chez Emmerich quand il est en forme.
Dans « Godzilla », il ne l’était pas. Le mythique lézard géant, créé au Japon en 1954, ne méritait pas d’être insulté de la sorte, car le film est mauvais. Le scénario est faible, l’humour pathétique et les personnages ridicules. Sans oublier Godzilla, qui avait du potentiel, mais pour laquelle (si si !) on ne ressent aucune empathie, faute de traitement correct du personnage.
Certes, le spectacle est là, et New York en fait les frais. Malheureusement, les effets spéciaux, qui sont l’argument principal de ce genre de film, ont très mal vieilli.
Moralité : laissons les monstres japonais à ceux qui savent les traiter !
Par Claude
Bonus : Filmographies - Film-annonce V.O sous-titrée - 2 pré films-annonces - Clip musical vidéo Wallflowers "Hero" - Commentaire des effects spéciaux V.O sous-titrée - Commentaire du réalisateur et du producteur - Photos - Prises de vue New York (avant et après Godzilla) - Documentaire.
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Idiot
On a souvent tendance à confondre Roland Emmerich avec Michael Bay : mêmes explosions grandioses, mêmes scénarios anémiques et même patriotisme américain. Avec parfois un zeste de second degré chez Emmerich quand il est en forme. Dans « Godzilla », il ne l’était pas. Le mythique lézard géant, créé au Japon en 1954, ne méritait pas d’être insulté de la sorte, car le film est mauvais. Le scénario est faible, l’humour pathétique et les personnages ridicules. Sans oublier Godzilla, qui avait du potentiel, mais pour laquelle (si si !) on ne ressent aucune empathie, faute de traitement correct du personnage. Certes, le spectacle est là, et New York en fait les frais. Malheureusement, les effets spéciaux, qui sont l’argument principal de ce genre de film, ont très mal vieilli. Moralité : laissons les monstres japonais à ceux qui savent les traiter ! Par Claude
Claude - Le 11 mars 2021 à 11:23